Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

Souris

  • Sens sexuel et érotique : souvent rêve prémonitoire qui met en garde contre une exploitation exagérée des forces vitales.
  • Que l’on voit courir libre : mécontentement et contrariété.
  • Que l’on entend siffler : mise en garde contre un danger.
  • Que l’on capture : chance dans la malchance.
  • Que l’on voit dans un piège : on réglera une affaire irritante.
  • Voir des souris blanches : on se fait des soucis superflus à propos de quelque chose.
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Chauve-Souris

  • Que l’on voit : entreprise incertaine.
  • que l’on capture : prochaine amélioration de la situation
  • pour les malades : guérison prochaine.
  • Voir des chauves-souris : les affaires marchent bien
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Cheval

Le cheval dans les rêves:

 

Généralement lié au symbole de puissance cet animal est un bon symbole. Il peut signifier la pureté et l’indépendance. Lorsqu’on monte un cheval on peut interpréter cette image comme un besoin d’évasion et d’indépendance.
Si l’on résume, un cheval en bonne santé et qui se laisse monter pourra indiquer que vos projets futurs sont en bonne voie et dans le cas contraire, un animal qui vous fait chuter ou si il chute pourra indiquer une défaite et un parcours semé d’embûches.

cheval

 

Voici les significations du cheval dans les rêves :

 

  • Ordonnance de la vie psychique ainsi que de la vie sexuelle et érotique.
  • Que l’on voit en liberté ou dans un pâturage : indépendance.
  • Dans l’écurie : aisance.
  • Sellé sans cavalier : on montera haut dans la vie.
  • Des chevaux paisibles que l’on monte : on avancera bien et sans obstacle.
  • Turbulent, indocile, se cabrant , que l’on monte : beaucoup d’obstacles sont devant vous mais vous allez arriver à vos fins de façon durable.
  • Turbulent, dont on ne devient pas maître : on n’atteindra pas son but.
  • Que l’on veut monter, mais sans parvenir à la selle : on est malchanceux.
  • Se cabrant ou ruant : des difficultés menacent, mais on en viendra à bout.
  • Prenant le mors aux dents : l’existence ou l’aisance sont compromises.
  • Être assis sur un cheval qui a pris le mors aux dents sans en tomber : on surmontera sans dommage une situation très dangereuse.
  • Avec lequel on saute un fossé ou un obstacle : on se débarrassera avec énergie de tous les obstacles.
  • Qui vous jette à terre ou que l’on voit faire une chute: annonce d’un danger.
  • Qui se presse et flaire si l’on a du pain ou du sucre : on aura un ami et camarade fidèle.
  • Monter à cheval: augure bien des entreprises amoureuses du dormeur et si le cheval se trouve richement équipé il indique des profits connexes à une union .
  • Les chevaux attelés ou tout sellés sans cavaliers annoncent une mort même chose si un cheval vous parle .
  • Chevaucher un animal sans frein ou accomplir quelque course échevelée peut signifier une catastrophe sauf si votre rêve se termine de façon paisible pour vous et l’animal.
  • Un malade qui rêve être porté par un cheval dans les bois verra son état s’aggraver au contraire s’il se voit parcourir une ville il guérira promptement.
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Le fonctionnement des rêves

A quoi servent les rêves ??

darksouls1 / Pixabay

Tant que nous étions sous l’empire des dieux écrit Françoise Parot, nous n’avions aucune raison de nous interroger sur l’utilité de ces activités oniriques.  » Il fallut attendre la fin du XIXe siècle pour que soient prêtés au rêve des rôles intégrés au fonctionnement cérébral. A partir des années 60, on recherche surtout les fonctions possibles du sommeil paradoxal pendant lequel surviennent les rêves. Malgré les espoirs suscités par les sciences neurologiques, aucune théorie n’a trouvé aujourd’hui de support expérimental solide. En particulier, les expériences de privation de sommeil paradoxal, qui perturbent le déroulement normal du sommeil, ne semblent pas entrainer de troubles caractéristiques. Est-il vraiment pertinent de poser la question d’une fonction biologique des rêves au même titre que la nutrition ou la respiration ? Ce vide théorique laisse le champ libre à certaines conceptions traditionnelles, dont nos idées demeurent plus ou moins héritières.

Le rêve comme purge du cerveau

 

D�après l’allemand W, Robert, en 1886, le rêve est l’effet d’un processus somatique d’élimination de pensées étouffées dans l’oeuf  » : on ne peut évacuer les impressions informes et les pensées non élaborées, sources de tension psychique, qu’en les complétant par des emprunts à l’imagination. S’il ne s’agit pas ici d’un processus psychique, la notion de mise en scène, véritable fabrication de l’imagerie onirique, est commune à la théorie de Freud. On retrouve cette idée un siècle plus tard, en 1983, dans la théorie de Francis Crick et Graeme Mitchison, pour laquelle le rêve est un processus d’oubli : isolé pendant le sommeil paradoxal, le réseau neuronal serait purgé des informations parasites grâce à l’activation aléatoire des ondes PGO. Mais il reste alors à expliquer comment s’effectue le tri entre ce qui est signifiant et ce qui ne l’est pas.

 

Le rêve comme soupape de l’esprit

 

Avec la publication de Die Traumdeutung en 1899, Sigmund Freud marque pour longtemps les esprits. Selon lui, l’homme forme des désirs et des pulsions qui, inacceptables pour la conscience, sont refoulés par celle-ci. Il leur correspond une énergie emmagasinée que le cerveau doit évacuer pour se soulager d’une tension psychique. Le rêve autorise cette libération en déguisant ces désirs au moyen d’une mise en scène de matériaux mnésiques et symboliques. Les arguments physiologiques avancés par Freud ont été largement réfutés. L’hypothèse que les rêves se nourrissent des conflits de la petite enfance est remise en cause par la probable existence de sommeil paradoxal chez les nouveau-nés et certains animaux. Traditionnellement opposée à celle de Freud, la théorie de Carl Jung, au début du XXe siècle, envisage le rêve comme un moyen d’accès direct à l’inconscient individuel au sein d’un inconscient collectif, et révèle davantage les conflits actuels que ceux de l’enfance. Ces deux théories se rejoignent pourtant, en ce sens que le rêve découvre et régule les désirs et les affres de l’individu dans son intégration à l’environnement.

 

Le rêve comme entretien des circuits neuronaux

 

Selon la théorie du « rêve sentinelle  » de Snyder (1966), la stimulation corticale pendant le sommeil paradoxal permettrait à l’animal endormi de rester prêt à réagir rapidement en cas de péril. Mais le seuil d’éveil plus élevé au cours de cette phase et le fait que l’on observe plus de sommeil paradoxal chez les animaux les moins sujets à la prédation ne plaident pas en faveur de cette hypothèse. J. Allan Hobson a proposé que le sommeil paradoxal autorise à la fois le repos du système nerveux de la motricité et de l’attention et l’excitation du système nerveux non fatigable, en particulier des circuits essentiels ou des circuits servant peu fréquemment. De cette activation découlerait la synthèse par le cortex des scénarios oniriques. Comme le suggéra Edouard Claparède en 1905, le rêve pourrait être un exercice de création permettant la réactivation de processus mentaux et le test de comportements innés ou acquis, ce que peut illustrer l’expérience de Michel Jouvet et de Jean-Pierre Sastre sur le  » comportement onirique  » du chat : celui-ci, après une lésion du Locus coeruleus a (qui inhibe le système moteur pendant le sommeil paradoxal), semble mimer des comportements instinctifs typiques. Cependant, la privation de cette phase de sommeil ne met pas en évidence une altération des comportements instinctifs.

 

Le rêve comme gardien du sommeil

cocoparisienne / Pixabay

L’te;e que le rêve préserve le dormeur d’un réveil intempestif apparaît dans la théorie de Freud, pour qui la satisfaction hallucinatoire rend tolérable les vérités refoulées du sujet conscient, et prétend ainsi expliquer le cauchemar comme un échec du rêve. Elle est aussi présente dans l’hypothèse de Frederick Snyder pour laquelle les productions gratifiantes des rêves assureraient la continuité du sommeil afin d’amoindrir le stress du maintien de la vigilance. Si les hypothèses de Freud et de Snyder diffèrent par la nature des causes du stress, elles ne sont pas antinomiques pour autant : chaque espèce pourrait avoir à se préserver du stress de la régulation de ses propres tensions.

 

Le rêve comme apprentissage

 

En 1966, Howard Roffwarg, Joseph Muzio et William Dement, après s’être interrogés sur l’existence d’un sommeil « sismique  » prénatal et sur la prédominance du sommeil paradoxal après la naissance, ont proposé que le sommeil paradoxal jouait un rôle déterminant dans la maturation du système nerveux central à une période où le cerveau manque de stimulations externes. Mais cette thèse n’a jamais été confirmée et explique mal la persistance de sommeil paradoxal chez l’adulte. En 1969, l’informaticien Edmond Dewan s’inspira du fonctionnement des ordinateurs : au sommeil paradoxal correspondrait un programme de développement du cerveau embryonnaire, d’élaboration de nouveaux circuits fonctionnels après une lésion, et de consolidation des processus de mémorisation. Des expériences sur l’apprentissage des rats montrèrent dans les années 70 que la privation de sommeil paradoxal diminuait l’acquisition de tâches complexes. Bloch et ses collaborateurs suggérèrent alors le rôle essentiel de ce type de sommeil dans la mémorisation. Mais le lien entre apprentissage et sommeil paradoxal chez l’homme n’a pas été clairement établi. Le rêve est-il un moteur ou une conséquence du développement cognitif ? Rien ne tranche.

 

Le rêve comme création artistique

 

Nos rêves comportent parfois des scènes visuelles ou des mélodies foncièrement originales. La capacité créative du cerveau rêvant s’est vue glorifiée par quelques réalisations historiques – prétendument inspirées par des rêves, parmi lesquelles figurent la découverte de la structure de la molécule de benzène par Auguste Kekulé et la composition de la Sonate du diable de Giuseppe Tartini. Le rêve pourrait n’avoir pour fonction la production d’un spectacle fantastique se nourrissant de nos fantasmes et de nos angoisses. Telle est l’hypothèse de Hobson, pour qui notre cerveau est fondamentalement artiste, pour notre plaisir. Le rêve est peut-être une activité gratuite, rendue possible par l’absence de nombreuses contraintes (somatiques, cognitives, morales…) qui pèsent sur le sujet éveillé.

 

Le rêve comme adaptation psychosociale

 

Chez la plupart des indiens d’Amérique du Nord comme chez les aborigènes d’Australie, les expériences oniriques sont au moins aussi importantes que celles de la veille ; elles dictent souvent leur conduite. Dans une étude sur seize tribus indiennes, Stanley Krippner et April Thomsom montrent comment l’interprétation des rêves entretient l’identité culturelle. Chez certaines de ces tribus, comme les Ojibwas, les rêves sont intégrés à la réalité et aux croyances du clan. Cette recherche d’équilibre individuel et de responsabilité sociale témoigne ainsi d’une fonction d’adaptation psychosociale qui, par ses aspects mystiques, n’est pas sans rappeler certaines idées de Jung. Si le rêve des indiens peut nous sembler étrange, c’est sans doute que, depuis Descartes, en dévalorisant la moitié nocturne de notre vie, nous avons opéré une coupure radicale entre le psychique et le social.

 

Le rêve comme rappel à l’ordre

 

Les populations africaines de l’ancienne cité des Esclaves, l’âme humaine, avant de prendre corps dans le sein d’une femme, séjourne dans un « monde de l’origine « , situé symboliquement dans les entrailles de la Terre. Dans ce lieu où demeurent les germes des expériences possibles, elle s’attribue un lot de possibilités, un patrimoine à faire fructifier, et conçoit les grandes lignes de son existence future. A la naissance, elle perd contact avec ce monde où sont conservés les objets fondamentaux de son désir, et ne sera heureuse qu’à condition de leur rester fidèle. Le rêve sera souvent l’occasion pour des entités protectrices (ancêtres, génies célestes) de rappeler le sujet à l’ordre s’il déroge à son destin. Insignifiance, malheur et maladie suivent immanquablement une inadéquation entre son existence effective et celle antérieurement imaginée. Le rêve contribuerait donc à restaurer les bonnes relations de l’homme avec de telles déterminations originelles. Pour l’ethnologue Albert de Surgy, la comparaison de ces déterminations avec les inscriptions du génome peut suggérer une analogie avec la théorie de Jouvet.

 

Le rêve comme gardien des comportements spécifiques

 

Michel Jouvet a proposé, en 1991, la théorie de la programmation génétique itérative ; chez les homéothermes, le sommeil paradoxal réactiverait périodiquement les comportements spécifiques de l’individu (les comportements communs à l’espèce étant sans doute définitivement établis une fois achevée la neurogenèse). Cette hypothèse, étayée par l’observation de souris consanguines et de profils psychologiques de jumeaux homozygotes, suggère que le rêve maintienne l’individuation psychologique, perpétuant une diversité naturelle nécessaire. Mais rien n’assure que le sommeil paradoxal soit seul responsable d’une telle reprogrammation. De plus, où se situe la frontière entre comportements individuels et comportements communs ? Or c’est davantage au niveau idéologique que l’idée de Jouvet a été critiquée : en tant que théorie génétique, elle peut être matière à des discriminations abusives ; c’est pourquoi il rencontra des difficultés à réaliser des comparaisons interethniques sur les caractéristiques du sommeil paradoxal. Cette théorie représente cependant aujourd’hui l’une des seules approches évolutionnistes du problème de la fonction des rêves.

 

Source:Par Olivier Néron de Surgy
Science et Avenir Hors-Série Le Rêve Dec. 96

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Le serpent dans vos rêves

Vous avez vu un serpent en rêve ?

 

Ce type de rêve s’interprète pas de la même façon si le rêveur est une femme ou alors si il s agit d’un homme.
Le serpent généralement liée à l’animal biblique, met souvent en cause votre vie sentimentale, souvent symbole de soucis de ce domaine et plus particulièrement dans votre vie amoureuse.

Une première piste serait donc de tenter d’analyser votre rêve dans ce sens.

Dans cet article nous allons donc tenter de vous donner des pistes pour les deux principaux cas :

Le rêveur est une femme :

Le serpent pour une femme indique la méfiance afin de pouvoir arriver à maintenir sa vie sentimentale à flot, faites attention au autres femmes qui pourrais nuire à votre couple si vous êtes en couple, dans le cas contraire, vous n’êtes pas forcement impartiale dans un conflit amoureux.

Ici le rêveur est un homme :

Si on prends la référence biblique le serpent va pousser Eve à trahir Adam, on peut donc dire que votre songe vous met en garde contre une ou plusieurs femmes qui n’hésitera pas à vous trahir ou vous faire du mal.

 

serpent

Néanmoins on peut préciser cette interprétation suivant l’animal :

  • Mort ou malade, peut indiquer un changement de situation.
  • Dans un arbre, méfiance.
  • être mordu par ce dernier, changement profitable.
  • Voir ou entendre des serpents, menaçants, rampants, animés de mouvements continus indique de très dangereux ennemis.
  • Si ce dernier parle : cela peut être lié à votre capacité à faire la différence entre le vrai du faux.

Pour résumer :

Généralement pour le rêveur masculin le serpent est un avertissement vis à vis des femmes dans sa vie amoureuse. Et pour les femmes cela est principalement le reflet de pulsion important. Dans les deux cas le serpent est un symbole sexuel fort.

 

Interprétations liées : serpent / adam & eve

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Ossements

  • ;Des événements défavorables vont bouleverser votre existence. Perte de situation. Rupture affective. Maladie ou décès d’un de vos proches. Malchance. ;d’animal: fin de l’abondance. ;d’homme mort: mauvais présage. ;découvrir des os chez soi: secrets de famille.;trouver un os: vous êtes en difficulté.;travailler l’os: charges désagréables.;se casser un os: un grand ami vous abandonnera.;ronger un os d’animal: période de pauvreté.; voir également « squelette »;
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Âne

  • Voir plusieurs ânes: querelle avec des collaborateurs ou des subordonnés.
  • Âne errant: inconnu, Âne que vous achetez ou qui vous appartient: présage d’autant meilleur que l’animal sera plus beau.
  • L’audition du cri de l’âne annonce quelque affront.
  • Tomber d’un âne signifie insuccès
  • en maltraiter un ou le tuer annonce quelque rude coup du sort.
  • Les Orientaux attachent un sens singulier à l’ânesse: ainsi en voir une qui met bas, indiquerait la prospérité
  • enfourcher une ânesse enceinte, annonce que votre femme est enceinte mais si vous voyez l’ânesse accoucher d’un animal autre que de son espèce , votre femme porte un enfant qui n’est pas de vous.
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